Auteur/autrice : Vincent Bonnal

Poulet à la cocotte version grand-mère

Préparation :

50 mn

Cuisson :

1 h

Ingrédients :

  • 1 poulet coupé en morceau
  • 125 g de lardons natures
  • 125 g d’oignons
  • 1 kg de pommes de terre
  • 150 g de champignons de Paris
  • 25 cl de bouillon de volaille (25cl d’eau + 2 cuillière et 1/2 de bouillon de volaille Knorr)
  • 10 cl de vin blanc (je prends du Marquis des Horts de Corconne)
  • 1 bouquet garni (Knorr fait un truc très bien…)
  • 2 cuillères à soupe d’huile
  • sel (sauf si vous avez utilisé un cube Knorr) et poivre

Préparation :

Eplucher les oignons et les émincer. Dans une cocotte, faire fondre 50g de beurre. Y faire dorer les lardons avec les oignons et les champignons 8 à 10 mn. Les réserver.

Ajouter 30 g de beurre dans la cocotte et y faire colorer les morceaux de poulet sur toutes les faces. Peler les pommes de terre et les couper en carrés.

Déglacer le poulet avec le vin blanc.Ajouter sel, poivre, bouquet garni et bouillon. Couvrir et laisser mijoter 45 mn sur feu doux. Arroser de temps en temps avec le jus de cuisson.

Faire sauter les pommes de terre à la poèle avec l’huile, saler.

Au bout de 45 mn, remettre les champignons, les lardons et les oignons dans la cocotte. Mélanger et laisser mijoter 15 mn.

Servir avec les pommes de terre.

Recette essayée le 20/12/2009

Migration de Windows à Ubuntu – Episode 2 – Installation

La migration commence nécessairement par l’installation…
Mon portable Dell D830 (3Go de RAM) est sous XP. Il a un disque dur de 160Go partitionné en deux partitions ntfs: une de 60Go pour le système (partition C: nommée Systeme) et une de 100Go pour les données (partition D: nommée Data).

A- Les partitions mises au pas…

Il me faut donc de la place pour Linux, 50Go environ, 16Go pour le système, 25Go pour le /home et 3Go pour le swap. Je dois donc défrangmenter ma partition D: et créer 50Go d’espace libre.

  1. Tout d’abord, j’ai fais une copie de sauvegarde sur un disque externe de toutes mes données du disque D:
  2. Le defragmenteur Windows n’étant pas à la hauteur, j’ai utilisé un défragmenteur gratuit en Home Edition  qui se nomme « Auslogics Disk Defrag » à récupoérer sur ce site: http://www.auslogics.com/en/software/disk-defrag. Excellent logiciel. J’ai utilisé l’option Défrag + Optimisation afin de ranger les clusteur au début du disque.
  3. Une fois la défragmentation effectuée, j’ai réduit la partition D: à 50Go et laissé libre les 50Go qui m’étaient nécessaires pour intaller Ubuntu. J’ai utilisé un logiciel tout aussi efficace que le très connu Partition Magic, à savoir « EASEUS Partition Master Home Edition » gratuit en Home edition (je travaillais à la maison   ) à récupérer sur ce site: http://www.partition-tool.com/personal.htm. Notez que ce point aurait pû être évité étant donné que GParted, qui est le « partitionneur » par défaut lors de l’installation d’Ubuntu, gère visiblement très bien le respect des données existantes… (j’avoue que c’était ma petite frayeur initiale).

B- Récupération d’Ubuntu 9.10

Je suis allé sur le site web de la communauté française d’Ubuntu (très bon site, à bookmarké nécessairement) afin de télécharger Ubuntu 9.10. Voici le lien pour la page de téléchargement: http://www.ubuntu-fr.org/telechargement
J’ai téléchargé ubuntu 9.10 « Karmic Koala », en variante GNOME pour un PC standard (architecture x86).
Une fois le fichier iso téléchargé, j’ai vérifié grace aux md5 l’intégrité de l’image iso (cf http://doc.ubuntu-fr.org/tutoriel/comment_verifier_l_integrite_de_son_image_cd). Ensuite, je l’ai gravé sur un CD-Rom avec « InfraRecorder » (comment faire: utilisez Google pour trouver la réponse ou aller sur la page d’installation d’Ubuntu de la communauté Ubuntu -cf plus loin-).
Une fois l’image du disque gravé, j’ai laissé le CD-Rom dans le lecteur et j’ai redémarré mon PC.

C- Installation d’Ubuntu

Je me suis laissé guidé dans les écrans d’installation. Je vous propose d’aller sur ce site web : http://doc.ubuntu-fr.org/installation pour voir les étapes d’installation classiques. La seule différence (majeure à ne pas louper) est que j’ai choisi un partionnement manuel où j’ai utilisé l’espace libéré dans le paragraphe ci-dessus pour créer 3 nouvelles partitions sur lesquelle Ubuntu s’installera (j’ai formaté ses partitions ext4):

  • partition / de 16,5Go (en ext4)
  • partition /home de 24Go (en ext4)
  • partition swap de 3Go

D- Premier démmarrage d’Ubuntu:

RAS, tout c’est bien passé.

E- Et maintenant…

Jusque là, je ne pensais pas rencontrer de problème et j’ai eu raison. Les difficultés commencent réelement lorsqu’on veut utiliser Ubuntu au quotidien, et c’est finalement ce que je souhaite décrire sur ce blog pour montrer qu’avec un peu de temps, on arrive à faire beaucoup sous Ubuntu.

Migration de Windows à Ubuntu – Episode 1 – Contexte

Je viens de passer sous Ubuntu dans un contexte professionnel. A priori, rien d’extraordinaire pour beaucoup, mais dans mon environnement de travail, cette démarche n’est pas très courante: je travaille au Cirad, et l’énorme majorité des ordianteurs sont sous Windows XP. Pas Vista, mais bien sous XP, étant donné que notre direction des Services Informatique a vraiment tardé à mettre en place Vista (grand bien leur fasse de cette initiative).

Dans l’équipe où je suis affecté, l’UMR Tetis, je ne suis pas le premier à entrer dans cette démarche, je dirai même que je suis l’un des derniers informaticiens à le faire, mais notre équipe étant répartie sur deux campus montpelliérain différents, Ubuntu n’a pas encore fait de percée sur mon campus: au centre de recherche de Baillarguet du Cirad.

Alors voilà, je vais, par ce blog, raconter les différentes étapes (et/ou problèmes) que je vais rencontrer pour mettre en place et travailler au quotidien avec Ubuntu dans un environnement très Windows.

Le contexte:

  • Je suis informaticien et je suis en formation en master SIIG3T. Je travaille dans le développement de système d’informations géographiques sur Internet (webmapping sur des projets internationnaux, qu’ils soient européen –Lupis– ou de l’ONU via la FAO Système de veille dans le cadre de la Lutte contre les criquets pèlerins). J’utilise donc courament comme serveur web Apache et je programme sous PHP/Javascript avec PostgreSQL avec PostGIS. Comme serveur cartographique, je travaille principalement avec MapServer.
  • J’utilise Ubuntu quotidiennement chez moi (mail, Internet) où je n’ai Windows uniquement que pour les jeux.
  • Comme ordinateur, je dispose d’un Dell D830, deux deux écrans, l’un en numérique, l’autre en analogique branchés sur un réplicateur de port sur lequel je pose mon portable
  • J’ai profité de la sortie d’UBUNTU 9.10 pour migrer et abandonner Windows

En résumé, voici l’histoire (et les soucis) d’une migration vers Ubuntu 9.10 avec un Dell D830 dans un contexte professionnel très Microsoft.

Utiliser gdal2tiles

gdal2tiles est un programme python qui permet de tuiler une grosse image raster. Il génère un répertoire avec des tuiles TMS, un KML et des visualisateurs web simples. Pour l’utiliser, téléchargez FWTools (http://fwtools.maptools.org/)
A titre personnel, voilà la commande que j’utilise:
C:\Program Files\FWTools2.2.6>python .\bin\gdal2tiles.py -title "mon essai"
   -publishurl http://localhost/monsite/ -v "C:\mosa1.tif" "C:\monsite"

ou directement


C:\Program Files\FWTools2.2.6>.\bin\gdal2tiles.bat -title "mon essai"
   -publishurl http://localhost/monsite/ -v "C:\mosa1.tif" "C:\monsite"

Notez que le dernier répertoire n’est pas mis avec l’anti-slash.
Voici un bon lien de présentation: http://www.neogeo-online.net/blog/archives/114/
Explications de http://softlibre.gloobe.org/ sur ce script:

La commande génère un répertoire avec de petites tuiles et métadonnées, suivant la spécification du Service de Tuilage de carte de l’OSGeo. Des pages web simples avec des visualiseurs basés sur Google Map et OpenLayers sont générés également – tout le monde peut confortablement explorer vos cartes en ligne et vous n’avez pas besoin d’installer ou de configurer un logiciel spécial (comme Mapserver) et la carte s’affiche très rapidement dans le navigateur web. Vous avez seulement besoin de télécharger votre répertoire généré dans un serveur web.

NOTE : gdal2tiles.py est un script Python, et ne fonctionnera que si GDAL a été compilé avec la gestion de Python.

GDAL2Tiles créé également les métadonnées nécessaires pour Google Earth (SuperOverlay KML), dans le cas où la carte fournie utilise une projection EPSG:4326.

Les fichiers world et les références spatiales incluses sont utilisés durant la génération des tuiles, mais vous pouvez publier également une image sans le géoréférencement.

  • -title “Title” : titre utilisé pour les métadonnées générées, les visualisateurs web et les fichiers KML.
  • -publishurl http://yourserver/dir/ : adresse du répertoire dans lequel vous allez télécharger le résultat. Il doit se terminer par un slash.
  • -nogooglemaps : ne génère pas de page HTML de base pour Google Maps.
  • -noopenlayers : ne génère pas de page HTML de base pour OpenLayers.
  • -nokml : ne génère pas de fichier KML pour Google Earth.
  • -googlemapskey KEY : clé pour votre domaine généré sur la page web de l’API de Google Maps (http://www.google.com/apis/maps/signup.html).
  • -forcekml : force la régénération des fichiers KML. Le fichier en entrée doit utiliser des coordonnées EPSG:4326 !
  • -v : génère une sortie verbeuse lors de la génération des tuiles.

Edit du 21/05/2010

Après un formatage d emon PC, je m’apperçois que la nouvelle version de gdal2tiles inclue dans FWTools 2.4.7 ne fonctionne plus.

cf: http://lists.maptools.org/pipermail/fwtools/2009-September/001651.html et

et ce serait lié à un problème générationnel de python (16bits vs 32???)… et ben.

Bon, j’ai trouvé une solution en attendant: re-récupérer la version 2.2.6 de FWTools et l’utiliser…. C’est ce qu’on appelle être au bord du précipice et faire un grand pas en avant…

Dernier point que je n’avais pas précisé avant: pour utiliser GDal2Tiles, il faut « installer » l’environement de FWTool en lancant en ligne de commande le fichier setfw.bat situé à la racine du répertoire d’installation de FWTools2.2.6 (dans Program Files).

Et bien sûr, voici le lien qui va bien pour récupérer l’ancienne version de FWTools2.2.6: http://home.gdal.org/fwtools/FWTools226.exe