Mois : décembre 2009

Poulet à la cocotte version grand-mère

Préparation :

50 mn

Cuisson :

1 h

Ingrédients :

  • 1 poulet coupé en morceau
  • 125 g de lardons natures
  • 125 g d’oignons
  • 1 kg de pommes de terre
  • 150 g de champignons de Paris
  • 25 cl de bouillon de volaille (25cl d’eau + 2 cuillière et 1/2 de bouillon de volaille Knorr)
  • 10 cl de vin blanc (je prends du Marquis des Horts de Corconne)
  • 1 bouquet garni (Knorr fait un truc très bien…)
  • 2 cuillères à soupe d’huile
  • sel (sauf si vous avez utilisé un cube Knorr) et poivre

Préparation :

Eplucher les oignons et les émincer. Dans une cocotte, faire fondre 50g de beurre. Y faire dorer les lardons avec les oignons et les champignons 8 à 10 mn. Les réserver.

Ajouter 30 g de beurre dans la cocotte et y faire colorer les morceaux de poulet sur toutes les faces. Peler les pommes de terre et les couper en carrés.

Déglacer le poulet avec le vin blanc.Ajouter sel, poivre, bouquet garni et bouillon. Couvrir et laisser mijoter 45 mn sur feu doux. Arroser de temps en temps avec le jus de cuisson.

Faire sauter les pommes de terre à la poèle avec l’huile, saler.

Au bout de 45 mn, remettre les champignons, les lardons et les oignons dans la cocotte. Mélanger et laisser mijoter 15 mn.

Servir avec les pommes de terre.

Recette essayée le 20/12/2009

Migration de Windows à Ubuntu – Episode 2 – Installation

La migration commence nécessairement par l’installation…
Mon portable Dell D830 (3Go de RAM) est sous XP. Il a un disque dur de 160Go partitionné en deux partitions ntfs: une de 60Go pour le système (partition C: nommée Systeme) et une de 100Go pour les données (partition D: nommée Data).

A- Les partitions mises au pas…

Il me faut donc de la place pour Linux, 50Go environ, 16Go pour le système, 25Go pour le /home et 3Go pour le swap. Je dois donc défrangmenter ma partition D: et créer 50Go d’espace libre.

  1. Tout d’abord, j’ai fais une copie de sauvegarde sur un disque externe de toutes mes données du disque D:
  2. Le defragmenteur Windows n’étant pas à la hauteur, j’ai utilisé un défragmenteur gratuit en Home Edition  qui se nomme « Auslogics Disk Defrag » à récupoérer sur ce site: http://www.auslogics.com/en/software/disk-defrag. Excellent logiciel. J’ai utilisé l’option Défrag + Optimisation afin de ranger les clusteur au début du disque.
  3. Une fois la défragmentation effectuée, j’ai réduit la partition D: à 50Go et laissé libre les 50Go qui m’étaient nécessaires pour intaller Ubuntu. J’ai utilisé un logiciel tout aussi efficace que le très connu Partition Magic, à savoir « EASEUS Partition Master Home Edition » gratuit en Home edition (je travaillais à la maison   ) à récupérer sur ce site: http://www.partition-tool.com/personal.htm. Notez que ce point aurait pû être évité étant donné que GParted, qui est le « partitionneur » par défaut lors de l’installation d’Ubuntu, gère visiblement très bien le respect des données existantes… (j’avoue que c’était ma petite frayeur initiale).

B- Récupération d’Ubuntu 9.10

Je suis allé sur le site web de la communauté française d’Ubuntu (très bon site, à bookmarké nécessairement) afin de télécharger Ubuntu 9.10. Voici le lien pour la page de téléchargement: http://www.ubuntu-fr.org/telechargement
J’ai téléchargé ubuntu 9.10 « Karmic Koala », en variante GNOME pour un PC standard (architecture x86).
Une fois le fichier iso téléchargé, j’ai vérifié grace aux md5 l’intégrité de l’image iso (cf http://doc.ubuntu-fr.org/tutoriel/comment_verifier_l_integrite_de_son_image_cd). Ensuite, je l’ai gravé sur un CD-Rom avec « InfraRecorder » (comment faire: utilisez Google pour trouver la réponse ou aller sur la page d’installation d’Ubuntu de la communauté Ubuntu -cf plus loin-).
Une fois l’image du disque gravé, j’ai laissé le CD-Rom dans le lecteur et j’ai redémarré mon PC.

C- Installation d’Ubuntu

Je me suis laissé guidé dans les écrans d’installation. Je vous propose d’aller sur ce site web : http://doc.ubuntu-fr.org/installation pour voir les étapes d’installation classiques. La seule différence (majeure à ne pas louper) est que j’ai choisi un partionnement manuel où j’ai utilisé l’espace libéré dans le paragraphe ci-dessus pour créer 3 nouvelles partitions sur lesquelle Ubuntu s’installera (j’ai formaté ses partitions ext4):

  • partition / de 16,5Go (en ext4)
  • partition /home de 24Go (en ext4)
  • partition swap de 3Go

D- Premier démmarrage d’Ubuntu:

RAS, tout c’est bien passé.

E- Et maintenant…

Jusque là, je ne pensais pas rencontrer de problème et j’ai eu raison. Les difficultés commencent réelement lorsqu’on veut utiliser Ubuntu au quotidien, et c’est finalement ce que je souhaite décrire sur ce blog pour montrer qu’avec un peu de temps, on arrive à faire beaucoup sous Ubuntu.

Migration de Windows à Ubuntu – Episode 1 – Contexte

Je viens de passer sous Ubuntu dans un contexte professionnel. A priori, rien d’extraordinaire pour beaucoup, mais dans mon environnement de travail, cette démarche n’est pas très courante: je travaille au Cirad, et l’énorme majorité des ordianteurs sont sous Windows XP. Pas Vista, mais bien sous XP, étant donné que notre direction des Services Informatique a vraiment tardé à mettre en place Vista (grand bien leur fasse de cette initiative).

Dans l’équipe où je suis affecté, l’UMR Tetis, je ne suis pas le premier à entrer dans cette démarche, je dirai même que je suis l’un des derniers informaticiens à le faire, mais notre équipe étant répartie sur deux campus montpelliérain différents, Ubuntu n’a pas encore fait de percée sur mon campus: au centre de recherche de Baillarguet du Cirad.

Alors voilà, je vais, par ce blog, raconter les différentes étapes (et/ou problèmes) que je vais rencontrer pour mettre en place et travailler au quotidien avec Ubuntu dans un environnement très Windows.

Le contexte:

  • Je suis informaticien et je suis en formation en master SIIG3T. Je travaille dans le développement de système d’informations géographiques sur Internet (webmapping sur des projets internationnaux, qu’ils soient européen –Lupis– ou de l’ONU via la FAO Système de veille dans le cadre de la Lutte contre les criquets pèlerins). J’utilise donc courament comme serveur web Apache et je programme sous PHP/Javascript avec PostgreSQL avec PostGIS. Comme serveur cartographique, je travaille principalement avec MapServer.
  • J’utilise Ubuntu quotidiennement chez moi (mail, Internet) où je n’ai Windows uniquement que pour les jeux.
  • Comme ordinateur, je dispose d’un Dell D830, deux deux écrans, l’un en numérique, l’autre en analogique branchés sur un réplicateur de port sur lequel je pose mon portable
  • J’ai profité de la sortie d’UBUNTU 9.10 pour migrer et abandonner Windows

En résumé, voici l’histoire (et les soucis) d’une migration vers Ubuntu 9.10 avec un Dell D830 dans un contexte professionnel très Microsoft.